Les Filles de l’Air

Trio humour musical !
Concert chansons françaises réjouissant !
Tout public

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Juliette Pradelle   06 85 03 71 81
Françoise Boccadifuoco   06 21 03 94 07


 

Deux comédiennes chanteuses accompagnées d’un pianiste au charme décoiffant,revisitent les tubes de la chanson populaire, vocalisent avec brio leurs compositions, s’amusent avec le public

Entre chansons et sketchs décalés, elles offrent un show fantaisiste et pleins de pep’s… une histoire de femmes rocambolesque et vitaminée sous l’oeil amusé du pianiste.

Les femmes sont à l’honneur avec les Filles de l’Air.

 

 

 

 

 

Mesdames et Messieurs, embarquez avec les Filles de l’Air  !

Crédit photos : Olivier Pimpard

Synopsis 

Miranda et Lola, hôtesses d’accueil téléphonique chez FDL les Filles de l’Air, arrivent au bureau comme tous les matins… le téléphone, la routine se brise ! Tout vole en éclats ! Eclats de rire, éclats de larmes ! Entre confidences et tour de chant, elles dévoilent petit à petit le scénario de leur vie au fil des chansons, entre humour et émotion.

Miranda et Lola s’inventent un monde aux couleurs paillettes… où les femmes règnent sans partage !!!

Elles chantent quoi les Filles de l’Air ?

Elles chantent Gainsbourg, Johnny (eh oui), Enrico Macias, Françoise Hardy, Lucienne Delyle (c’est qui ?), Les Chaussettes Noires, Julio Iglesias (non !!!), Patrick Juvet (whouahhh), leurs compos aussi sur des textes de Jordi Cardoner.


Vidéos du spectacle…

 

L’équipe

Conception, jeu et chant : Françoise BoccadifuocoJuliette Pradelle
Piano, compositions et arrangements : Manuel Durand
Mise en scène : Laurence Vigné
Texte des compositions : Jordi Cardoner, Les Filles de l’Air
Création lumière : Sonia Perdigao
Scénographie : Jean-Marie Deboffe


Article de Presse Avignon 2017
Les Filles de l’Air : dans toute leur variété…
« C’est du théâtre musical entre comédie-kitch-souvenirs-souvenirs, parodies pures et réelles créations chansonnières. Plutôt que « rendre le rapport à Monsieur le Directeur », deux dactylos-rock chantent à tue-tête (à la perdre !) leurs petites histoires, leurs tracas du quotidien, sur un air de chachacha (« Depuis que je t’ai perdu, je suis en pièces sur l’avenue »), un tango barjot en VO, une relecture de « Tout pour mon chéri » façon pop-électro ou une Carmen délirante. Trois paravents sur roulettes posent un décor efficace qui s’adapte à l’envi, servant de fenêtre ou de cache, de porte ou de castelet. Le tout fonctionne à trois voix avec un pianiste-compositeur-arrangeur au diapason de ses deux complices, autant dire tout aussi déjanté… Lumières, mise en scène, costumes, chœurs, tout cela est soigné, plein de bonnes surprises (comme cette chorégraphie à six mains, cette tête qui fait corps avec une marionnette ou ces paroles de chansons cultes échangées avec le public). On rit, chante et joue à l’Adresse à 16h30. »

Didier Blons et Gisèle Bihan, Radio Albatros, Avignon 2017